Globalization for Whom? The US and Europe: A Light House Rroject; Challenging the Ethics of Neoliberalism

Auteurs

  • Constandinos Tsiourtos European Parliament Bureau-AKEL

Résumé

Dans les societés démocratiques modernes les priorités ont été modifiées à travers l’évolution de la dynamique du capital et sous l’influence déterminante du capitalisme et sa version vicieuse la plus récente-le néoliberalisme-dans une grande partie du monde. Plus particulièrement l’aspect économique a corrompu ses fondations, et a établi son propre système de valeurs. Les relations économiques sont maintenant au centre d’attention tandis que les valeurs sociétales et la sauvegarde des libertés fondamentales sont devenues un outil utilisé comme pretexte par les pouvoirs qui les transgressent au même moment qu’ils proclament qu’ils les protègent. Le ‘mouvement’ de globalisation a été utilisé pour la prolifération du capital et pas des valeurs démocratiques. Des alliances telles NATO et le parténariat transatlantique entre l’Union Européenne et les Etats-Unis imposent leur propre agenda du jour au reste du monde et offrent leur propre version de «paix virtuelle».
Le concept de la Gauche pour un système mondial devrait être le premier pas vers une purification de la globalisation au lieu de la démoniser. Ce que la Gauche doit réaliser est un nouveau mouvement d’internationalism qui devrait être initié au sein du système des Nations Unies.

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Publiée

2008-05-06

Comment citer

Tsiourtos, C. (2008). Globalization for Whom? The US and Europe: A Light House Rroject; Challenging the Ethics of Neoliberalism. Études helléniques / Hellenic Studies, 16(1), 131–147. Consulté à l’adresse https://ejournals.lib.uoc.gr/hellst/article/view/632