Le Conseil européen d'Helsinki. Réaction des partis politiques et de l'opinion publique en Turquie

Συγγραφείς

  • Burcu Cültekin Institut français d’études anatoliennes (Istanbul)

Περίληψη

Les relations gréco-turques ne sont ni linéaires ni sclérosées comme le prouve l’existence, depuis 1923, de différentes périodes de détente entre Athènes et Ankara. Outre le rapprochement entre la Turquie et la Grèce opéré par Ataturk et Venizelos dans les années trente et qui revient au premier plan, à lasuite de l’adhésion de ces deux pays à l’OTAN, il y a eu, malgré la persistance de la question chypriote, à nouveau un dialogue entre Turcs et Grecs, à la fin des années 1980, mené par A. Papandréou et T. Özal. La solidarité, qui s’est manifestée en 1999, entre ces deux peuples à l’occasion des séismes, qui les ont durement éprouvés, a eu pour conséquence de faciliter l’acceptation au sommet d’Helsinki du principe de la candidature de la Turquie à l’UE.

Δημοσίευση

2000-12-15

Πώς να δημιουργήσετε Αναφορές

Cültekin, B. (2000). Le Conseil européen d’Helsinki. Réaction des partis politiques et de l’opinion publique en Turquie. Études helléniques / Hellenic Studies, 8(2), 205–224. ανακτήθηκε από https://ejournals.lib.uoc.gr/hellst/article/view/1321